Le meurtre de femelles parce qu’elles sont des femelles (Russell et al, 2001). Il est connu pour prévaloir avant l’avènement de l’Islam, au service de la mise à mort des nouveau-nés féminins, de peur de tomber en captivité dans les guerres qui s’élèvent entre les tribus, entachant l’honneur de la famille et de la tribu. Cette pratique est encore connue en Chine mais pratiquée pour une autre raison.
Source : UNFPA